Malgré les demandes répétées des députés socialistes, le gouvernement avait choisi de réunir dans un même débat deux politiques pourtant très distinctes : d’un côté le plan de soutien à la Grèce, approuvé par les socialistes, et de l’autre, les mesures de rigueur annoncées par le Premier ministre le 24 août dernier, contre lesquelles les députés se sont prononcés.
Comme l’ont expliqué les députés qui se sont succédés à la tribune, ces mesures n’ont aucune cohérence entre elles, ne relancent en rien la croissance et l’emploi et font payer à la majorité des français la facture de la politique menée en faveur des plus favorisés depuis 2007.
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