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Albert Likuvalu

lundi 18 octobre 2010

Conférence de Nagoya sur la biodiversité

La Conférence des Nations Unies sur la diversité biologique qui s’ouvre aujourd’hui à Nagoya doit être porteuse de réponses. Réponses face à l’appauvrissement de la diversité biologique qui s’accélère, exacerbée par les changements climatiques. Réponses pour trouver de nouveaux financements pour agir en faveur de la biodiversité sans céder aux tentations de marchandisation de la nature et de spéculation sur le vivant. Et enfin réponses face à la biopiraterie et face aux risques de privatisation du génome.

En cette année de la biodiversité, devant le mauvais bilan de l’objectif adopté en 2002 à Johannesburg - en stopper l’érosion – il faut, en effet, sonner l’alarme. Le taux d’extinction des espèces, faune et flore confondues, est désormais 1000 fois plus élevé que le taux naturel d’extinction ; la pollution et la surexploitation des ressources ne cessent de s’aggraver ; de nombreux écosystèmes se détériorent rapidement.

Le Parti socialiste souhaite que ces débats aboutissent à l’adoption d’objectifs internationaux ambitieux en faveur de la diversité biologique pour les horizons 2020 et 2050. Il appelle également à l’adoption du protocole sur l’accès aux ressources génétiques, garant de règles claires, et à la création de l’IPBES (Plate-forme scientifique intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques), lien indispensable entre la science et la politique sur la biodiversité et les services écosystémiques, à l’exemple du GIEC sur le climat.

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