Encore une fois, les députés de la majorité s’en prennent aux pouvoirs du Parlement et aux droits de l’opposition.
En écartant, par le biais d’un amendement, la Présidence de la République du champ de la commission d’enquête, la majorité parlementaire s’illustre par sa volonté de faire opposition à toute forme de transparence démocratique.
Après avoir rejeté une première commission d’enquête visant les sondages commandés par l’Elysée, après avoir préempté la présidence de cette commission à l’encontre de toute la tradition parlementaire, ce nouvel épisode traduit la fébrilité et l’inquiétude de la majorité, voire de l’Elysée.
Le Parti Socialiste condamne cette nouvelle atteinte au droit du Parlement et aux droits de l’opposition et exige que la plus grande transparence soit faite sur l’utilisation des fonds publics pour des sondages d’opinion.
En écartant, par le biais d’un amendement, la Présidence de la République du champ de la commission d’enquête, la majorité parlementaire s’illustre par sa volonté de faire opposition à toute forme de transparence démocratique.
Après avoir rejeté une première commission d’enquête visant les sondages commandés par l’Elysée, après avoir préempté la présidence de cette commission à l’encontre de toute la tradition parlementaire, ce nouvel épisode traduit la fébrilité et l’inquiétude de la majorité, voire de l’Elysée.
Le Parti Socialiste condamne cette nouvelle atteinte au droit du Parlement et aux droits de l’opposition et exige que la plus grande transparence soit faite sur l’utilisation des fonds publics pour des sondages d’opinion.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire